NOTRE PRESENT
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Si nous regardons autour de nous et que nous demandons ce que notre civilisation matérialiste a apporté à l’homme en bonheur et en paix intérieure, nous devons hélas constater que le bilan n’est guère réjouissant. La majorité des êtres qui vivent aujourd’hui dans nos pays civilisés ne parviennent à vivre qu’à force d’énergie et d’endurance, dans une ambiance d’activité trépidante, enfiévrée et malsaine. Nous avons créé la machine qui a centuplé nos moyens et notre puissance d’action, mais nous en sommes devenus l’esclave et la victime : esclave dans la paix, victime dans la guerre. La distance n’est plus un obstacle pour nous. Nous nous transportons avec rapidité d’un point du globe à l’autre et pourtant nous ne voyons pas que ces facilités de déplacement nous aient rendus meilleurs et plus heureux. Car si l’adage veut que les voyages forment la jeunesse, ils ne semblent guère contribuer, dans la majorité des cas à raffermir les liens de concorde et de fraternité qui devraient unir les peuples. L’homme possède la faculté merveilleuse d’exprimer sa pensée et de faire entendre sa voix jusqu’aux contrées les plus lointaines ; il peut émettre et enregistrer les vibrations lumineuses et sonores ; les corps opaques sont devenus perméables à ses regards et pourtant, s’il lui est possible de sonder la matière, que sait-il en revanche de lui-même, de son origine, de son essence et de sa destinée ? L’homme veut aller vite, toujours plus vite. Emporté par ses passions, ses convoitises et ses phobies, l’horizon de ses espoirs recule indéfiniment. C’est la course éperdue vers l’abîme, l’usure constante, l’activité impatiente, forcenée, appliquée sans trêve ni repos. Aux désirs satisfaits succèdent d’autres désirs inassouvis. A cette cadence, à ce régime, la santé physique périclite. Malgré la diffusion et l’observation des règles d’hygiène, des mesures de prophylaxie, en dépit des innombrables procédés thérapeutiques et de l’amoncellement des drogues chimiques, la maladie poursuit ses ravages avec une inlassable persévérance. A telle enseigne que la lutte organisée contre les fléaux connus ne semble avoir d’autre résultat que d’en faire naître de nouveaux, plus graves et plus réfractaires. La nature elle même donne des signes non équivoques de lassitude. C’est à force d’engrais chimiques que le cultivateur obtient des récoltes de valeur moyenne. Tout ce qui végète manque de sève et de résistance. Les plantes dépérissent et se montrent incapable de réagir contre l’envahissement des insectes parasites et l’attaque des maladies à mycellium.

Plus terrible encore, de nouveaux dangers se profilent à l'horizon, avec les transmutations génétiques et le clonage.

Devons-nous laisser disparaître notre libre arbitre, devons-nous faire confiance à ceux qui veulent nous imposer leurs solutions ? Nous pouvons, sans appartenir à quelque mouvement que ce soit, agir par la pensée, en harmonie avec des millions d’êtres qui oeuvrent pour qu'une éthique soit mise en place, acceptée et respectée par tous les peuples de la planète.

Une initiative est en cours. Elle consiste en la mise en place d'une commission de sages au sein de L'ONU.

Comment une telle commisssion pourrait-elle avoir le moindre pouvoir, me direz-vous, quand nous voyons cette organisation se débattre dans des problèmes quasi insurmontables? Je vous répondrai que cette commission de sages détiendra son pouvoir de vous, si vous prenez la peine de la soutenir par le pouvoir de votre volonté, de votre pensée et de votre profond désir qu'il en soit ainsi.

Toutes les sciences, la physique, la chimie, les mathématiques, utilisent les symboles. Sans eux, elles n'auraient pu accomplir les progrès qu'elles ont réalisés. Vous avez découvert les mutiples symboles qu'utilise l'Alchimie. Vous allez maintenant découvrir les symboles qu'utilisent les Mayas. Vous comprendrez comment le symbole, utilisé avec le pouvoir de la pensée, peut amener la concrétisation de réalisations qui peuvent paraître de prime abord impensables...

L'Amour et la Fraternité sur cette Terre sont possibles, si vous le voulez!

 

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